DU DIVAN JAPONAIS

AU MIRLITON

 

Je dois l'avouer, au départ, je n'avais pas beaucoup d'attrait pour cette "Belle Epoque", tournée à l'extrême vers le divertissement et l'amusement.

 

Avec l'aimable autorisation du musée"Toulouse-Lautrec" d'Albi

Je n'ai pas de goût pour les sociétés du "paraître" où les femmes sont un bel ornement.

Mais ma curiosité m'a naturellement rapprochée d'Yvette GUILBERT, plus grande chanteuse populaire de la fin du XIX ème siècle.

Après une visite au Musée TOULOUSE-LAUTREC d'ALBI, j'ai voulu emprunter les gants noirs de la "diseuse", symboles d'élégance dans l'atmosphère roturière et triviale que la société de la III ème République drapée de rigidité hypocrite cachait mal.

Est ce que le rire et la frivolité voulaient masquer une période de trouble social?

Les chansons de Théodore BOTREL, MAC NAB, Jules JOUY, Aristide BRUANT et Gaston COUTE nous en dévoilent un aspect…

 

.. spectacle d'une heure et quart qui nous transporte dans une première partie rue des Martyrs autour d' Yvette Guilbert qui interprète les répertoires de Léon Xanrof ou Paul De Kock, puis boulevard Rochechouart

……..autour d'Aristide Bruant, Mac Nab, Jules Jouy, chansonniers qui ont autre chose à nous dévoiler sur cette Belle Epoque……

 

Ecoutez Madame arthur...

 

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